Sous cloche
Se nourrir

[VIDÉO] A la table confinée de l’auberge espagnole

Le confinement a permis des échanges gastronomiques inter-culturels, comme ici pour apprendre à cuisiner un plat russe. Aisling Garvey

Pour certains, le confinement a été l’occasion d’apprendre à cuisiner. Une activité qui s’avère être créatrice de liens et d’échanges culturels.

Aisling vit en colocation avec son amie bulgare, Iulita. Pour cette jeune fille auparavant réfractaire à la cuisine, le confinement a été l’opportunité de se réconcilier avec les fourneaux.

Dans cette entreprise, Aisling bénéficie des conseils experts de sa colocataire. Dans la culture russe et bulgare de Iulita, la cuisine joue un rôle social très important. Préparer à manger, c’est souvent l’occasion de se retrouver pour discuter et partager une activité commune à la maison. Nous avons filmé ces deux colocataires en train de préparer des raviolis traditionnels d’Europe de l’Est appelés varenikis.

2 mois de confinement font des miracles, et Aisling explique désormais qu’elle a hâte de montrer ce qu’elle a appris à sa grand-mère. Une perspective qui se rapproche à mesure que le déconfinement progresse.

Quentin Meunier et Mariette Thom

Related posts

Les pauses déjeuner en entreprise se réinventent

Tiphaine LEPROUX

Injonctions à garder la ligne, la presse féminine s’attire les foudres des professionnels de la nutrition

Matthieu LASSERRE

Les personnes dépendantes à l’alcool au risque du confinement

Nina DROFF